Dystopie, Quand l´esprit s´éparpille Je me sens malhabile Sous l´amour projectile Comme une maladie
Le cœur se déshabille À la vue des fusils Que forment tes envies
Les passants s´enchaînent, m´entraînent À te chercher en enfer ou hors féeritaire Les brouillons s´enchaînent, m´entraînent À parfaire tous tes mystères, ancrer tes manières T´es la muse de mon air
Tout s´effacera en un clin d´œil De ton image je fais le deuil Mais une mémoire qui se sent veuve N´a plus d´épreuve
Combien de pardon, combien de saisons Me donneras-tu ? Pour combler mes ratures
Combien de pardon, combien de saisons Me faudra-t-il pour soigner ton idylle C´est le bouquet final Les fleurs brûlées s´étalent Bien en haut de mon piédestal Tout autour le froid s´installe J´ai le cœur mal, mal, mal
Le poids du temps qui plombe les ailes Plus les mêmes chances d´avoir le ciel Quand les nuages forment ton motel Ce n´est pas grave, j´prendrais l´échelle
L´échec encore, à force tout est indolore L´envie en tort, je n´ressens même plus mon corps Coup de foudre indélébile Qui frappe chaque jour mon estime
Qui fait crise, qui s´épuise Je vois mes nuits en monochrome J´écris des lettres sous le bruit Cachant mes larmes clandestines Pour braver, me rappeler tout le malheur d´être timide
Tout s´effacera en un clin d´œil De ton image je fais le deuil Mais une mémoire qui se sent veuve N´a plus d´épreuve
Combien de pardon, combien de saisons Me donneras-tu ? Pour combler mes ratures Combien de pardon, combien de saisons Me faudra-t-il pour soigner ton idylle C´est le bouquet final Les fleurs brûlées s´étalent
Bien en haut de mon piédestal Tout autour le froid s´installe J´ai le cœur mal, mal, mal Et ça fait mal