Le même regard sur ma peau Comme un grimage sur mes mots Je suis née en prose En moi, tout s´oppose
C´est mon dernier rôle Je cherche encore la cause qui me froisse les épaules Je sens des ombres sur ma peau Je m´imagine un manteau Quand la nuit m´arrose J´ai à dire tant de choses C´est mon dernier rôle Je cherche encore la cause qui me froisse les épaules
Se cacher, pour mieux se voir On se compare, Dans nos cauchemars Se mentir, Pour mieux se croire On s´égare, dans nos mémoires Comme un paradoxe Comme un paradoxe
Comme un paradoxe Comme un paradoxe Comme un paradoxe
J´ai le cœur d´un imposteur Et quand les songes de nous s´égarent, je me sens seul Que l´on me porte de nouveau à l´arrière du rideau C´est mon dernier rôle C´n´est pas toujours facile, mais j´apprends qui je suis Au rythme de la scène Est-ce que toi, ça t´arrive de te perdre dans tes chaînes?
Se cacher, pour mieux se voir On se compare, Dans nos cauchemars Se mentir, Pour mieux se croire On s´égare, dans nos mémoires Comme un paradoxe Comme un paradoxe Comme un paradoxe Comme un paradoxe Comme un paradoxe Comme un paradoxe Comme un paradoxe Comme un paradoxe Comme un paradoxe
Quand s´effondreront nos illusions Ne restera que l´imperfection Même si l´on doit encore se taire, on nous considère
Comme un paradoxe Comme un paradoxe Comme un paradoxe Comme un paradoxe Comme un paradoxe Comme un paradoxe Comme un paradoxe Comme un paradoxe
Se cacher, pour mieux se voir On se compare, Dans nos cauchemars Se mentir, Pour mieux se croire On s´égare, dans nos mémoires Comme un paradoxe