Je n´ai rien vu venir, tu n´étais qu´un soupir Salvateur quand mon souffle se coupait Je n´ai rien vu venir dans tes mots choisis Qui me caressaient, sous ma peau s’immisçaient
Je n’ai pas su me tenir près de la vérité Pas su me retenir lorsque je basculais
Mesure ton flot et préserve-moi De toi, de ta danse fragile sur un fil Ne me mens pas Tu es si décevant quand tu te défiles Ne te méfie pas, c´est l´unique privilège de cet amour là Pour tous les riens que l´on se doit Prends soin du peu que l´on a Du peu que l´on a
Ta peau embaume le parfum de ma liberté Tes mots, vertige, ouvrent le monde sous mes pieds Je n’ai cessé d’accourir quand tu le demandais
Toi tu as préféré fuir dès que tu me saisissais Je n’ai rien vu venir tu n’étais qu’un soupir Salvateur quand mon souffle se coupait
Mesure ton flot et préserve-moi De toi, de ta danse fragile sur un fil Ne me mens pas Tu es si décevant quand tu te défiles Ne te méfie pas, c´est l´unique privilège de cet amour là Pour tous les riens que l´on se doit Prends soin du peu que l´on a Du peu que l´on a Du peu que l´on a Du peu que l´on a