[Jazzy Bazz] T´apparais comme l´aurore, pure comme le soleil Dans une miteuse chambre d´hôtel, proche d´l´aéroport Sonny Rollins en fond sonore, tes joues se colorent
Mes mains se promènent, poupée
[Jazzy Bazz] J´descends, tu me dis que c´est interdit J´me demande si t´es indécise Tes baisers ont le goût d´un vin exquis J´prends le risque lancer une invective C´qui provoque en toi un incendie Nos corps brûlent, mon cœur reste insensible On amorce un rodéo intensif Et tu combles de rêves mon insomnie (han) Tu réalises mes illusions orgasmiques Aucune autre femme ne f´ra d´irruption nostalgique (songeur) L´éruption volcanique m´a fait l´effet d´la drogue Mets-moi, comme un sceau sur ton cœur Car l´amour est fort comme la mort
[Sabrina Bellaouel] Le temps s´écoule sur les dunes de sable On dit de toi que tu adules le Diable Le temps s´écoule sur les dunes de sable On dit de toi que tu adules le Diable
[Oxmo Puccino] Dans les mains, tous tapent dès qu´elle passe le pas de la porte Que des Michael "Who´s bad", j´attends tranquillement à la sortie, frissons Du pubis au plexus, tremblement d´terre en guise d´aperçu, explorer Parcelle par centimètre, jouer le doux, le love ou l´gentil maître Assis en tailleur sur un d´ses orteils, les dénivelés font d´nous des mortels
Là-bas, deux montagnes m´ébahissent, forêt au milieu du païs Tout ça, j´vais le gravir, en moi, quelque chose va grandir En équilibre le long de son tibia, son parfum frappe l´immédiat
[Sabrina Bellaouel] Le temps s´écoule sur les dunes de sable On dit de toi que tu adules le Diable Le temps s´écoule sur les dunes de sable On dit de toi que tu adules le Diable