Tu sauras jamais à quoi je pense, T´as pas encore décidé je suis déjà aux conséquences. Ma tête dans la molécule harmonique, j´écris lorsque les mots s´y percutent. Infini est mon aperçu, étrange mélange de douceur, quelque chose d´herculesque,
Ox du prestige au burlesque, je gère avec ce que la vie me suggère. Si tu ne pleures pas depuis hier, c´est qu´on ne vit qu´à travers les proches et leurs prières. Si je me presse pour créer ce poème, aurais-je le temps d´en faire un deuxième?
Véridique
J´ai la potion le plan, mais ta notion du temps n´est pas assez importante, rien que tu te plains rien ne te plait. Un pote qui s´en fout quand tu t´inquiètes? Est ce ton pote? j´en doute: pense à ton assiette. Triste verdict, deux milles ans sont passés, tout pour le capital, De plus en plus riche et c´est le règne animal
Maudite intelligence que l´on manie mal Malédiction.
Véridique
T´as plus rien à donner, tant que t´as pas pardonné, Je gamberge debout sur mon balcon, je me fous de ton balconnet, Les souvenirs une enclume, plus d´encre dans le bâtonnet plume, Le regard brumeux vise prudemment, Souffrir, percer le secret de l´endurance. Laisse-moi kiffer ce pochon de weed, On a des potes qui ont pris perpétuité. Si la peine est une épée, prends cette parole comme un étui. C’est véridique