Je n´vais plus sécher sur les coeurs A prendre, me mouiller sur des pleurs, Je n´vais plus pêcher par erreur, Pour soulager mes peines, de peur De gagner la déprime en prime,
Du moral au fond, on s´abîme, Pour des illusions légitimes D´idéales idylles.
Ma consolation, Ma déraison, Ma dernière fréquentation. Maudit soit le mal, Tant de saisons, Mon réconfort, Mon calme, Contre ce mal au fond.
Je n´vais plus pêcher sous-marine, Seul dans les profondeurs du spleen, Au coeur de l´eau, de l´océan, C´est lent, si l´on s´obstine. Je veux respirer l´oxygène,
Des hauteurs de l´amour sans stress Et je suis sûr qu´il nous en reste, Puisque tu restes.
Ma consolation, Ma déraison, Ma dernière fréquentation. Maudit soit le mal, Tant de saisons, Ma dernière apparition.
Les mouchoirs et les violons, Je m´en méfie comme du poison, Mais qu´est-ce qu´on se sent seul au monde Sans consolation Ma consolation
Je n´vais plus parler dans le vide,
De ma vie, ex-amours du style Qu´on séduit et puis qu´on balance, Des chanteurs sans importance. Je n´vais plus parler désormais, Je vais taire une éternité, Inutile envie d´imbéciles, Car l´amour ne tient qu´à un fil
Ma consolation, Ma déraison, Ma dernière fréquentation. Maudit soit le mal, Tant de saisons, Ma dernière apparition.
Les mouchoirs et les violons, Je m´en méfie comme du poison, Mais qu´est-ce qu´on se sent seul au monde