Le sommeil veut pas d´ moi, tu rêves depuis longtemps. Sur la tÊlÊ la neige a envahi l´Êcran. J´ai vu des hommes qui courent, une terre qui recule,
Des appels au secours, des enfants qu´on bouscule.
Tu dis qu´ c´est pas mon rôle de parler de tout ça, Qu´avant d´ prendre la parole il faut aller là -bas. Tu dis qu´ c´est trop facile, tu dis qu´ ça sert à rien, Mais c´t encore plus facile de ne parler de rien.
Alors regarde, regarde un peu... Je vais pas me taire parce que t´as mal aux yeux. Alors regarde, regarde un peu... Tu verras tout c´ qu´on peut faire si on est deux.
Perdue dans tes nuances, la conscience au repos,
Pendant qu´ le monde avance, tu trouves pas bien tes mots. T´ hÊsites entre tout dire et un drôle de silence. T´as du mal à partir, alors tu joues l´innocence.
Alors regarde, regarde un peu... Je vais pas me taire parce que t´as mal aux yeux. Alors regarde, regarde un peu... Tu verras tout c´ qu´on peut faire si on est deux.
Dans ma tête une musique vient plaquer ses images Sur des rythmes d´Afrique mais j´ vois pas l´ paysage Toujours ces hommes qui courent, cette terre qui recule
Ces appels au secours de ces enfants qu´on bouscule
Alors regarde, regarde un peu... Je vais pas me taire parce que t´as mal aux yeux. Alors regarde, regarde un peu... Tu verras tout c´ qu´on peut faire si on est deux.
Alors regarde, regarde un peu... Je vais pas me taire parce que t´as mal aux yeux. Alors regarde, regarde un peu... Tu verras tout c´ qu´on peut faire si on est deux.
Cette chanson est une reprise. Sa version originale a ĂŠtĂŠ crĂŠĂŠe par Patrick Bruel