Puisqu´on ne vivra Jamais tous les deux Puisqu´on est fou Puisqu´on est seul Puisqu´ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux J´aimerais quand même te dire Tout ce que j´ai pu écrire Je l´ai puisé à l´encre de tes yeux
Je n´avais pas vu que tu portais des chaines A trop vouloir te regarder j´en oubliais les miennes On rêvait de Venise et de liberté J´aimerais quand même te dire Tout ce que j´ai pu écrire C´est ton sourire qui me l´a dicté
Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves Tu viendras toujours du coté où le soleil se lève Et si malgré ça j´arrive à t´oublier J´aimerais quand même te dire
Tout ce que j´ai pu écrire Aura longtemps le parfum des regrets.
Et puisqu´on ne vivra jamais tous les deux Puisqu´on est fou Puisqu´on est seul Puisqu´ils sont si nombreux Même la morale parle pour eux J´aimerais quand même te dire Tout ce que j´ai pu écrire Je l´ai puisé à l´encre de tes yeux
Cette chanson est une reprise. Sa version originale a été créée par Francis Cabrel