J’ai peint des terres désolées et les hommes sont fatigués de la joie toujours éloignée. J’ai peint des terres désolées où les hommes ont leurs palais.
J’ai peint des cieux toujours pareils, la mer qui a tous les bateaux, la neige, le vent et la pluie. J’ai peint des cieux toujours pareils Où les hommes ont leurs palais.
J’ai usé les jours et les jours de mon travail, de mon repos. Je n’ai rien troublé. Bienheureux, ne demandez rien et j’irai frapper à la porte du feu