Dans la nuit, des p´tites crapules Vas-y qu´j´prends le plume Sous l´plumard des Kleenex Pour les larmes que j´ai versées Mon cœur en cloque dans des versets
Des noms, des lieux, des non c´est mieux C´est nous, c´est bien, des tout, des riens À la fin, racle le bitume Dramaturge, l´hécatombe, faudra qu´j´mexcuse Des années passées dans l´ombre Des bouteilles tombées en nombre L´ivresse comme une bombe qui fait battre mon coeur Comme une ombre et que j´erre mon bonheur
Han, pas la peine de faire semblant Toutes vos tunes, toutes vous putes, toutes vos solitudes Pris la main dans l´sac à essayer d´carotte la vie Toutes mes vieilles rengaines que je sors à l´envie Que l´on crie, que l´on jouisse
J´parlerais bien d´mes hontes, de mes regrets Toutes ces situations où j´en ai p´t´être pas assez fait Mais j´ai toujours trop peur de m´dévoiler Alors parle d´ivresse, d´étoiles, de voie lactée Han, pas la peine de faire semblant Toutes vos tunes, toutes vous putes, toutes vos solitudes Pris la main dans l´sac à essayer d´carotte la vie Toutes mes vieilles rengaines que je sors à l´envie Que l´on crie, que l´on jouisse J´parlerais bien d´mes hontes, de mes regrets Toutes ces situations où j´en ai p´t´être pas assez fait Mais j´ai toujours trop peur de m´dévoiler
Alors parle d´ivresse, d´étoiles, de voie lactée
Dans la mort, que je suive la voie des Saints Sous mes mains les siennes, tout son corps, sa gorge et ses seins Pour les uns des peines, c´est triste mais c´est bien Triste besoin; rien de pire que le rien Toute l´histoire d´une vie dans une promesse Et qui porte le pli de nos faiblesses La mort d´un proche, le rire d´un pote Des larmes de sang, d´sourire Parfois j´écris pour me dire Le pire, le meilleur À l´envie que l´on jouisse à toute heure (han) Problèmes de riches Chiche qu´on se tue pour une miche de pain
Des actions en dédicace des crèves-la-faim Trop plein d´pathos nous affecte et nous touche en plein cœur Comme une balle qui nous touche, que l´on meurt Le plus que l´on puisse, quelques larmes que l´on cache, que l´on sèche Qu´on le dise, le malaise qu´on le cède J´entends les sifflements Des langues qui serpentent sous les sycomores Amants qui s´embrassent sous le firmament (han)
Han, pas la peine de faire semblant Toutes vos tunes, toutes vous putes, toutes vos solitudes Pris la main dans l´sac à essayer d´carotte la vie Toutes mes vieilles rengaines que je sors à l´envie
Que l´on crie, que l´on jouisse J´parlerais bien d´mes hontes, de mes regrets Toutes ces situations où j´en ai p´t´être pas assez fait Mais j´ai toujours trop peur de m´dévoiler Alors parle d´ivresse, d´étoiles, de voie lactée