Quand le soir tout se brise Que les regards se perdent Les rues si vides Jamais les lumières ne s´éteindront
Mais toi, qui n´y crois plus, il suffirait de le vouloir
Les nuits d´été, béton brûlant, foules immenses Que vive l´autre monde puisque tu disparais Oublions cette époque oublions cet été Puisque tu disparais
Mais toi, qui n´y crois plus, il suffirait de le vouloir
Ici tout disparaît, puisque tu disparais Que vive l´autre monde
Et si tu disparais, puisque tout disparaît Que vive l´autre monde