Bien qu’ell’ leur mît parfois à sa fenêtre Le nez au vent du soir faut reconnaître Ses seins n’avaient avant qu’ell’ me les donne Jamais tenu dans la main de personne Et ces jambes qu’à tout venant elle montre Je les prends à mon cou ell’ n’est pas contre Un seul baiser suffit pour qu’on devine Qu’enfant elle consomma des vitamines
Par une après-midi des plus torrides Dans ma chambrette elle me sembla timide Mais quand sa robe chut à ses semelles