Anémia L´éternelle envie d´encore incertaine et sans remord Qui me cogne et qui me tord est une arme obscène. Mais j´ai toujours peine à rester en place
L´attention fait défaut et mes tensions te glacent Dans le flot de nos larmes qui se teignent Dans l´anneau de nos âmes qui s´éteignent. Et le mal se tresse Il se dresse,il m´adore me retient Et mes fautes me blessent Contre mon stress je lutterai en vain Avec le temps il s´aggrave dans mon psychisme il se grave. L´égoïsme a fait de moi son esclave, son roi Mais j´ai toujours eu du mal à laisser aller À prendre du temps pour t´observer Dans le peu qu´il nous reste pour rêver Dans le feu de nos gestes au passé Et le mal se tresse Il m´oppresse, me dévore et me tient Et mes fautes ne cessent, contre mon stress je lutterai en vain.