Tu vois ce qu´on voit qui s´ébranle ? Nan, tu vois pas.
Tu n´es pas dans l´ombre, Pas dans le triangle.
Comme quand tu faisais du zèle, Comme quand j´te volais dans les plumes, Entre les dunes. Par la porte entrebâillée, Je te vois rêver, A des ébats qui me blesse, A des ébats qui ne cesse.
Peu à peu tout me happe, Je me dérobe, je me détache, Sans laissé d´auréoles, Les cymbales, les symboles Colle, on se rappelle, on se recolle. Peu à peu tout me happe.
Le vent de l´orgueil, Peut apaiser (x2)
Une poussière dans l´il, Et le monde entier soudain se trouble.
Comme quand tu faisais du zèle, Comme quand j´te volais dans les plumes, Entre les dunes. Par la porte entrebâillée, Je te vois rêver, Des romans fleurs asséchées, Où Jadis on nageait.
Peu à peu tout me happe, Je me dérobe, je me détache, Sans laissé d´auréoles, Les cymbales, les symboles Colle, on se rappelle, on se recolle. Peu à peu tout me happe.
Tu vois ce qu´on voit qui s´ébranle ? Nan, tu vois pas.