Ma ville est triste et provinciale Ses rues sont droites et chaque jour il pleut À d´autres elle peut sembler banale Mais moi, je l´aime et je m´y sens heureux
Ce n´est pas ce qui est beau que l´on aime Mais plutôt ce que l´on aime qui est beau Et le pire devient meilleur en nous-mêmes Quand on sait regarder avec le cœur Avec le cœur, le cœur
Mes seuls voyages sont dans les livres Les grands bateaux courent le monde sans moi L´amour qu´il m´est donné de vivre Est si heureux que l´on n´en parle pas
(ad lib) Ce n´est pas ce qui est beau que l´on aime Mais plutôt ce que l´on aime qui est beau Et le pire devient meilleur en nous-mêmes Quand on sait regarder avec le cœur Avec le cœur, le cœur