Ouaha il est vachté terribe Comme type il est vraiment formide Tu verrais, des fois, c’qu´y peut nous faire rigoler Avec lui, on s’paye de ces crises
Il fait des grimaces, y s’déguise Il imite l’artisse qui fait semblant d’bégayer
Il sort des manches de son pal’tot Son carnet d’histoires de Toto En fin d’soirée pour se ménager une relance Mais où va-t-il chercher tout ça ? Il doit lire des tas d’almanachs Dès qu’il débarque quelque part, ça commence
Eh eh dis, eh tu la connais celle-là, dis ? Eh dis, dis, eh, eh tu l´as connais dis ? Et si tu la connais tu m´le dis, dis ? Eh, eh hein non mais sans rire, non mais oh eh dis ? Eh oh non mais tu l´as connais pas dis ? T´es sûr tu l´as jamais entendue dis ?
On recherche sa compagnie On n´se lasse pas d´ses facéties Quel incorrigible farceur Quel bout en train, quel chahuteur Sacré déconneur, sacré déconneur
Armé d’un pistolet à eau Il sème le caca dans l’métro Faut qu’y chahute constamment à pleine tubulure Y pousse les gars dans les nanas Fais des croche-pieds à tour de bras Y cache des mégots allumés dans les doublures
Perché au summum du sérieux Y colle du ch’wing gum dans les ch’veux Y fait des sketches avec les affaires des autres Mais avec le talent qu’il a
Il devrait faire du cinéma Ah lui alors, il n’en fera jamais d’autres
Eh eh dis, eh tu la connais celle-là, dis ? Eh dis, dis, eh, eh tu l´as connais dis ? Et si tu la connais tu m´le dis, dis ? Eh, eh hein non mais sans rire, non mais oh eh dis ? Eh oh non mais tu l´as connais pas dis ? T´es sûr tu l´as jamais entendue dis ? On recherche sa compagnie On n´se lasse pas d´ses facéties Quel incorrigible farceur Quel bout en train, quel chahuteur Sacré déconneur, sacré déconneur
Dans son style à l’emporte-pièce À table y nous montre ses fesses
Qu’il maquille d’un faux nez et d’une paire de moustaches Il s’arrange pour que la poilade Contamine ses p’tits camarades Sachant, s’il le faut, se montrer âpre à la tâche
Serpentins ou verres baveurs Poil à gratter, coussins péteurs Il a toujours une surprise toute prête à l’avance Où va-t-il donc chercher tout ça ? Toujours le même, y changera pas Dès qu’i débarque quelque part, ça commence
Eh eh dis, eh tu la connais celle-là, dis ? Eh dis, dis, eh, eh tu l´as connais dis ? Et si tu la connais tu m´le dis, dis ?
Eh, eh hein non mais sans rire, non mais oh eh dis ? Eh oh non mais tu l´as connais pas dis ? T´es sûr tu l´as jamais entendue dis ? On recherche sa compagnie On n´se lasse pas d´ses facéties