Micro sillons par millions La scène devient ta prison Tu passes ta vie dans les avions Sans voir grandir tes petits garçons Ils ne te voient qu´au réveillon
Parfois dans la télévision Ça fait un an déjà Que tu ne les as pas pris dans tes bras
Pobre julio Pobre julio Dans ton habit de torero Tu fais l´amour cent fois par jour Les femmes adorent les matadors Mais Pobre julio Pobre julio Derrière les grilles de ton château Y´a des sanglots dans tes yeux d´or Des larmes dans ta voix de velours
Interviews imprésario Micro photo radio pueblo
Tu te consoles en stéréo Entre ton show et ton studio Tu cours de galères en galas Le grand amour n´est jamais là Tu vis la tête dans les étoiles Entre le ciel et l´offertoire
Pobre julio Pobre julio Dans ton habit de torero Tu fais l´amour cent fois par jour Les femmes adorent les matadors Mais Pobre julio Pobre julio Derrière les grilles de ton château Y´a des sanglots dans tes yeux d´or Des larmes dans ta voix de velours
On te réclame sur toute la terre De pointe a pitre à bueno aires Tu t´envoles en hélicoptère Et tes enfants restent par terre Ta fille sera bientôt une femme Parmi tes deux milliards de fans Mais le plus beau harem Ne vaut pas quand même la femme qu´on aime
Pobre julio Pobre julio Dans ton habit de torero Tu fais l´amour cent fois par jour Les femmes adorent les matadors Mais Pobre julio Pobre julio
Derrière les grilles de ton château Y´a des sanglots dans tes yeux d´or Des larmes dans ta voix de velours