J’ai le cœur comme un fleuve si grand Qu’il naufrage parfois mes je t’aime A quoi bon se faire des serments Qu’à l’estuaire on reconnaît à peine
A quoi bon se faire des serments Qu’à l’estuaire on reconnaît à peine
J’ai le cœur comme un fleuve trop grand Dieu que l’eau peut être insouciante Elle s’amuse avec les courants Et ne suit que le sens de la pente
Elle s’amuse avec les courants Et ne suit que le sens de la pente