J´entends bouger les arbres tellement j´respire fort,
je revois ton visage dans les bruits du dehors, quand tu pars, oh oh oh oh, quand tu pars, oh oh oh oh oh.
J´avance au bord du vide où tu laisses mon corps, entre les grands rapides et le fleuve qui dort. Quand tu pars, oh oh oh oh, quand tu pars, oh oh oh oh.
Comme ces fleurs privées d´couleurs
dans leur lumière du soir. Je m´envole, j´m´éloigne du sol pour mieux t´apercevoir.
J´veux vivre à ta lumière. Hum ! Hum ! J´veux vivre à ta lumière. Hum ! Hum !
Mon espace se fane et je danse à l´envers, comme ces enfants tziganes sur des débris de verre, quand tu pars, oh oh oh oh, quand tu pars, oh oh oh oh.
Comme ces fleurs privées d´couleurs dans leur lumière du soir. Je m´envole, j´m´éloigne du sol pour mieux t´apercevoir.
Je t´invente des îles brûlantes tout au bout de la Terre, des endroits, pour toi et moi, pour des années entières, pour vivre à ta lumière. Hum ! Hum ! Pour vivre à ta lumière. Hum ! Hum !