Je ne viendrai plus chez vous, Je n’en ai plus besoin, Je remballe tout, Mon temps, vos gants de crin, Tout est entre mes mains,
Tout est moins flou.
Je ne viendrai pas demain, Mon enfance de satin, Qu’on la laisse tranquille, Mes mardis n’ont plus rien, A vous dire aujourd’hui, Je reprends ma famille.
Vous avez eu ma mère, Épargnez donc mon père… Épargnez mon père.