Les fringues d’hier Sur le dos Déglingue amère Sous ma peau J’ai pas su faire
Rentrer tôt Pas su me taire
Bonheur éphémère Sous mon front Flingue en équerre Sous le menton Sous les réverbères Prendre mon temps Une bière Un croissant
J’y pense pas souvent J’y pense comme on se prend À rêver d’ailleurs De jours meilleurs J’y penserai plus promis J’y penserai plus si tu me dis
Que j’suis la femme de ta vie Que j’suis la femme de ta vie
Les rêves qui baignent Dans l’eau de rose Le cœur qui saigne Pour pas grand-chose L’enfer qui règne Qui prend la pose Une beigne Si j’me repose
À temps partiel Je suis vivante Je me rappelle Le reste du temps Que j’fais semblant Que j’fais comme celle
Qui y pense pas souvent Qui y pense comme on se prend À rêver d’ailleurs De jours meilleurs J’y penserai plus promis J’y penserai plus si tu me dis Que j’suis la femme de ta vie Que j’suis la femme de ta vie
"Je sens les regards posés sur moi. C’est sûrement une impression. Je sais pas. Mes lunettes noires ne suffisent pas à me cacher de mon propre regard Je pourrais rentrer chez moi tant que le jour est encore timide. Mais mon instinct de « subir » est trop fort. Il faut que je m’inflige encore. "
Qui y pense pas souvent Qui y pense comme on se prend À rêver d’ailleurs De jours meilleurs J’y penserai plus promis J’y penserai plus si tu me dis Que j’suis la femme de ta vie Que j’suis la femme de ta vie Que j’suis la femme de ta vie
Les fringues d’hier Sur le sol Comme la dernière Fois je vole À mon sommeil Et je frôle L’éternel