Les gens pressés dans le métro, qui se bousculent dans les rames Les gens qui fument au bistro, aux fumées aériennes Dont se plaignent les vieilles dames
Y´a les gens qui crient, tout le temps, tout le temps Ceux qui sourient, de temps en temps Et y´a les gens qui dansent, partout et n´importe comment J´adore J´adore
Y´a les gens qui s´aiment et qui s´aiment plus Les gens qui doutent, et ceux qui redoutent Les gens qui se perdent, qui savent plus Les gens qui s´emmerdent, qui se trainent le cul Y´a les gens qui s´taisent, qui n´ont pas les mots Les gens qui pèsent, ceux qu´on entend à la radio Et y´a les gens qui dansent, partout et n´importe quand, n´importe quand
J´adore J´adore
Y´a les gens qui savent, les gens qui s´battent Et d´autres qui attendent, qui font passer le temps Y´a les gens violents, y´a les gens dangereux Qui aiment les frissons, et puis y´a les peureux Les gens qui s´écoutent, parler dans le vent Qui refont monde, qui eux seront survivants Et au milieu de tout ça, il y a les gens qui dansent Partout, en silence, j´adore