Le sourire dans les dérapages C´est un bon jour pour mourir, m´a dit le grand chef apache Les ondes, plein d´bons rêves de palper le cash Trônent dans l´marécage, bronzent à l´ombre d´un doute
Là où j´passe, l´herbe repousse grasse Venu vendre la peau de l´ours, marche Sur les traces de Jim Soigne le mal par le malt Du rap de masse, non, du jazz de G´s Sans papier calque J´m´échappe par étapes de cette putain d´planète plate Mon état paraît stagner Même seul, je m´battrai jusqu´au dernier
Yes sir, sir, sir Yes sir, sir, sir Yes sir
Amateur d´purple et d´bouffe coréenne Sale poète en freelance Shoote le silence à distance
L´étoile filante sous le bonnet d´laine Tu t´feras shooter un dimanche, a dit la bohémienne Yes sir Dans ce petit motel miteux, j´me tue à être immortel Coup d´œil par les persiennes Redécouvre que le monde tourne, les sirènes couvrent les ondes hertziennes Terre, Ciel, jusqu´à l´infini Manquer l´éternel juste d´un philly´s La chute d´un génie, dans vos vies normales Si j´ai l´seum, yes sir
Sir, sir Yes sir, sir, sir Yes sir
Regarder nos villes incarner nos vies Laisse le flingue, prends les cannellonis Sir, sir, sir, sir...