Le temps a fait de nous des inconnus Pourtant, tu as tenu, j´pense à toi Et j´regarde l´horizon, un soleil rouge se couche sur la plage, mais tu n´es pas là Et ces millions n´ont pas changé ma perception du monde
La plupart du temps, j´essaye d´faire c´qu´il y a de mieux
Et le plus souvent, j´sauve les meubles, p´t-être elle est seule sans moi, p´t-être elle est mieux Dans une vie monotone aux couleurs d´automne, comme le seul jour d´octobre où le ciel est bleu
J´pleure mes amis solidaires d´avant les guerres, quand le soleil meurt dans l´horizon les soirs d´hiver Trop doué pour être insolent (Mmh), trop bourré pour prendre un volant Du rouge à lèvres sur la veste en cuir, flingue à la ceinture et le client réchauffe la cuillère Peu de longues études, dans l´coin c´qui compte, c´est les thunes
Et trahir comme c´est laid, pour six chiffres, p´t-être qu´on t´aurait tué si on était resté
Et le plus souvent, j´sauve les meubles, p´t-être elle est seule sans moi, p´t-être elle est mieux Dans une vie monotone aux couleurs d´automne, comme le seul jour d´octobre où le ciel est bleu
Elle m´a décrit comme trop silencieux, elle m´a décrit trop sauvage au pieu J´suis marqué au fer à l´abdomen, moi, j´dois encore réussir, comment j´aurais la flemme Non, p´t-être que j´ai plus les mots, que c´est que de la haine J´ai peur qu´elle voie tout comme acquis si elle sait qu´je l´aime J´ai jamais regardé le monde comme si j´avais jamais connu la merde, nan
Moi, le plus souvent, j´sauve les meubles, p´t-être elle est seule sans moi, p´t-être elle est mieux Dans une vie monotone aux couleurs d´automne, comme le seul jour d´octobre où le ciel est bleu
J´pleure mes amis solidaires d´avant les guerres, quand le soleil meurt dans l´horizon Quand la raison n´a plus de raison