Ni en el grande templo de Piceas siento tu frescura Y es que ni siquiera un té de coca me alivia la altura
Un trébol con sus cuatro ranuras, mi día de suerte Ya que el sol me tenía abandonado y volvió para verte
Sigilosa baja de puntitas, como una pantera Mi camisa te luce gigante, y hermosa te queda Te la pasas subiendo y bajando por la escalera Como de niña va modelando en su pasarela
Algo que me fascina, llámale cafeína Tu silueta a contraluz me llama, me calma Pétalos en la brisa, iniciales con la tiza Tu nombre en mi corazón se clava, me sana
Ah-ah, ah-ah Na-na-na, ah-ah Na-na-na, ah-ah
Luces como fuegos en el cielo, polvoreando ahí a lo lejos Como escándalo de enero, la nostalgia que me da Saber que el tiempo anda
Sigilosa baja de puntitas, como una pantera Mi camisa te luce gigante, y hermosa te queda Te la pasas subiendo y bajando por la escalera Como de niña va modelando en su pasarela
Algo que me fascina, llámale cafeína
Tu silueta a contraluz me llama, me recarga Pétalos en la brisa, iniciales con la tiza Tu nombre en mi corazón se clava, me sana
Ni en el grande templo de Piceas siento tu frescura Y es que ni siquiera un té de coca me alivia la altura Mi trébol de cuatro ranuras, mi día de suerte Ya que el sol, de estar desorientado, regresó, regresó para verte
Traduction
Même dans le grand temple de Piceas, je ne ressens pas ta fraîcheur Et c´est que même un thé de coca ne soulage pas mon vertige
Un trèfle à quatre feuilles, mon jour de chance Puisque le soleil m´avait abandonné et est revenu pour te voir
Elle descend furtivement sur la pointe des pieds, comme une panthère Ma chemise te semble immense, et elle te va à merveille Tu passes ton temps à monter et descendre les escaliers Comme une petite fille défilant sur son podium
Quelque chose qui me fascine, appelle ça de la caféine Ta silhouette en contre-jour m´appelle, me calme Des pétales dans la brise, des initiales à la craie
Ton nom dans mon cœur s´ancre, me guérit
Ah-ah, ah-ah Na-na-na, ah-ah Na-na-na, ah-ah
Des lumières comme des feux dans le ciel, saupoudrant au loin Comme un scandale de janvier, la nostalgie que ça me donne Sachant que le temps passe
Elle descend furtivement sur la pointe des pieds, comme une panthère Ma chemise te semble immense, et elle te va à merveille
Tu passes ton temps à monter et descendre les escaliers Comme une petite fille défilant sur son podium
Quelque chose qui me fascine, appelle ça de la caféine Ta silhouette en contre-jour m´appelle, me recharge Des pétales dans la brise, des initiales à la craie Ton nom dans mon cœur s´ancre, me guérit
Même dans le grand temple de Piceas, je ne ressens pas ta fraîcheur Et c´est que même un thé de coca ne soulage pas mon vertige
Mon trèfle à quatre feuilles, mon jour de chance Puisque le soleil, perdu, est revenu, est revenu pour te voir.