Les gens qui n´ont plus rien à faire Se suivent dans la rue comme des wagons de chemin de fer fer fer fer fer quoi faire
faire coiffeur Fer à friser les bonnes femmes qui n´ont non plus plus rien à faire férues de leur fer à friser zer zer zer Faire friser la catastrophe à leur mari qui s´approche et demande combien ça coûte cot cot cot coûte coûte coûte coûte que coûte combien ça coupe Coupe le souffle et paie quand même M´aimes-tu comme autrefois foi de Mari je t´aime autant Autant en emporte le vent Le vent qui souffle dans la plaine Plaine pleine au ras du bord De sournois débris de fer