Entre les portes je glisse Au regard je m´arrête Le décalage Les dents serrées les sourires L´individuel s´éclipse
Pendant que je m´entête Le décalage Je ne conçois rien de pire
La théorie du surhomme n´a jamais aidé personne Honni soit qui mal à l´aise partage ses monts et merveilles Honte à celui qui révère les moqueurs ceux qui s´affairent Le vide le plein se font face Faites place
Aux mesquins et aux médiocres Les peurs qui les disloquent Le décalage J´accueille les entrechoques Ferme les contre gravités Tout ce que je sais en vérité
Que je ne sais rien J´appelle à l´intimité
La théorie du surhomme n´a jamais aidé personne Honni soit qui mal à l´aise partage ses monts et merveilles Honte à celui qui révère les moqueurs ceux qui s´affairent Le vide le plein se font face Faites place
La théorie du surhomme n´a jamais aidé personne Honni soit qui mal à l´aise partage ses monts et merveilles Honte à celui qui révère les moqueurs, crétins pervers A ceux qui violent mon espace Le clash
Les oeillades les connivences L´indécence Rien qui requiert ici ma présence
On n´a pas l´éternité Pour se reconnecter Je n´ai pas toute la vie devant moi On n´a pas l´éternité Pour se reconnecter Je n´ai pas toute la vie devant toi
La théorie du surhomme n´a jamais aidé personne Honni soit qui mal à l´aise partage ses monts et merveilles Honte à celui qui révère les moqueurs, crétins pervers Je rejoins l´hyperespace