J´ai appris à pleurer sans une larme À sourire avec la mort dans l´âme
À toujours dire "t´inquiète pas, moi ça va" Même trempé, tes sens au milieu des flammes Mama si tu voyais mes nuits blanches À me battre avec mes idées noires Tous ces bleus que je cache sous ma manche Donne de la couleur à mes victoires J´suis de la génération Goldorak Et j´écris encore l´histoire du rap J´me suis battu contre des Goliath Accompagné de mon groupe Les PSY4 Toujours blessé, ouais blessé mais vivant Touché comme jamais mais vivant
J´me relève à chaque fois comme un vaillant Car on ne perd jamais tant qu´on est vivant Ah-ah-ah, ah-ah-ah, ah-ah-ah Ah-ah-ah, ah-ah-ah, ah-ah-ah J´me relève à chaque fois comme un vaillant
Car on ne perd jamais tant qu´on est vivant
Infini
Yeah, poto j´ai traversé les époques comme Daryl Dixon à traversé les zombies Je me présente: Sopra M´Baba j´suis la fusion entre Balavoine et M.O.B.B J´suis là depuis Evidi, Benidi je débite que des hits Depuis l´époque de P. Diddy, applaudis, je t´ai dit "Qu´un jour je verrai le bout du tunnel mieux que Lady D." J´ai changé le game à jamais, bah ouais comme dirait Yamé Ouais j´ai ouvert tous les stades à jamais les premiers
Marseillais comme Sadio Mané Tes rimes sont téléphonées Les miennes ont les 20 ans de Wayne Ronney Légendaire comme Maleville René, MVP de l´année Toi t´es où t´es pas là comme dirait Vianney Dis à ceux qui disaient que j´étais fini Que j´suis indémodable comme une Stan Smith Y a que des milli Vanilli laisse-moi monter sur scène les gifler comme Will Smith Je porte ma ville sur mon dos comme Zunesha de One Piece Et quoi que l´on me dit, je suis ta hantise Car je viens dans ce bizz faire le tri sélectif sans être de Green Peace
M´Baba la mitraillette, c´est M´Baba la mitraillette (ra-pa-pa-pa-pa-pa-pa)
Como co mitraillette, masikini ça crie à l´aide (ra-pa-pa-pa-pa-pa-pa) Sopra le gentil, le rappeur des petits Vient mettre une fessé à tous ces ingrats Alonzo m´a dit "finis-les", donc j´arrache à César ce qui appartient à PSY4
Ah-ah-ah, ah-ah-ah, ah-ah-ah Ah-ah-ah, ah-ah-ah, ah-ah-ah J´me relève à chaque fois comme un vaillant Car on ne perd jamais tant qu´on est vivant