Quand l´ombre menaça de la fatale loi Tel vieux Rêve, désir et mal de mes vertèbres, Affligé de périr sous les plafonds funèbres Il a ployé son aile indubitable en moi.
Luxe, ô salle d´ébène où, pour séduire un roi Se tordent dans leur mort des guirlandes célèbres, Vous n´êtes qu´un orgueil menti par les ténèbres Aux yeux du solitaire ébloui de sa foi.
Oui, je sais qu´au lointain de cette nuit, la Terre Jette d´un grand éclat l´insolite mystère, Sous les siècles hideux qui l´obscurcissent moins.
L´espace à soi pareil qu´il s´accroisse ou se nie Roule dans cet ennui des feux vils pour témoins