La balle laboura son âme Son regard transperçant ses bourreaux Une rivière de sang abreuvant ses paroles réveillées par la surprise soudaine révélation
médiocrité humaine. C’était au mois de mai, un jour de printemps Un oiseau se baigna dans la mare érubescente l’œil mouillé, il regarda les hommes ivres La beauté les avait quittés Ils n’étaient que des marionnettes de guerre