Marais salants de nuages resplendissants sur le phare Je me rapproche, je touche, je goûte Les algues ont obscuré l’avancée des crabes vivants sous les rochers domptés par la marée haute.
La mousse des vagues m’agglutine l’air saumâtre me chavire je me sens de nouveau seule. Pourquoi ? J’espérais trouver une réponse dans cette île à la grandeur du théâtre humain. Je pensais voir des baleines il y en a point. Tu as à nouveau tout détruit Tu n’as pas su garder la stupeur de l’âme écarquillée devant la vie. Malheur à toi!