C´est dans la défaite qu´on voit les gens nobles Oui, dans la défaite qu´on voit les gens C´est sans copec qu´on voit les gens snobs Et sans manteau qu´on sent le vent C´est dans la défaite qu´on voit les gens nobles
Oui, dans la défaite qu´on voit les gens C´est sans copec qu´on voit les gens snobs Et sans manteau qu´on sent le vent
C´est dans la défaite qu´on voit les gens nobles Et sans manteau qu´on sent le vent [?] Seulement, en soutenant les potes, j´combats cette troublante époque Toujours en souriant car j´ai tant d´croustillantes anecdotes Comme celle où j´rappe avec None, liquidons v´là les stocks De belles rimes, du fond d´l´Essonne à Belleville, on kick les prods De Mel, on pique n´importe laquelle, on n´joue pas les snobs Voici les contes de Greystoke du hip-hop, MC Christophe Lambert
Qu´écrivent des strophes d´enfer, un inventaire des années pauvres Une catastrophe d´enfer, un coffre sans trésor de guerre Voici qu´on t´offre l´envers de tout ce somptueux décor Où tu t´étonnes de perdre le sud et le nord, de fait C´est pour les fortes têtes qui vivent bien au-dessus des autres Et mènent une sorte de quête de liberté, porte concrète C´est dans la défaite qu´on sort les métaphores secrètes Et que tout prend forme, peut-être, le fond et la forme s´complètent
C´est dans la défaite qu´on voit les gens nobles
Oui, dans la défaite qu´on voit les gens C´est sans copec qu´on voit les gens snobs Et sans manteau qu´on sent le vent C´est dans la défaite qu´on voit les gens nobles Oui, dans la défaite qu´on voit les gens C´est sans copec qu´on voit les gens snobs Et sans manteau qu´on sent le vent