Rebekah rode up on the afternoon train, it was sunny Her saltbox house on the coast took her mind off St. Louis Bill was the heir to the Standard Oil name and money
And the town said, "How did a middle-class divorcée do it?" The wedding was charming, if a little gauche There´s only so far new money goes They picked out a home and called it "Holiday House" Their parties were tasteful, if a little loud The doctor had told him to settle down It must have been her fault his heart gave out And they said
There goes the last great American dynasty Who knows, if she never showed up, what could´ve been There goes the maddest woman this town has ever seen She had a marvelous time ruining everything
Rebekah gave up on the Rhode Island set forever Flew in all her Bitch Pack friends from the city Filled the pool with champagne and swam with the big names And blew through the money on the boys and the ballet And losing on card game bets with Dalí And they said
There goes the last great American dynasty Who knows, if she never showed up, what could´ve been There goes the most shameless woman this town has ever seen She had a marvelous time ruining everything
They say she was seen on occasion Pacing the rocks, staring out at the midnight sea
And in a feud with her neighbor She stole his dog and dyed it key lime green Fifty years is a long time Holiday House sat quietly on that beach Free of women with madness, their men and bad habits And then it was bought by me
Who knows, if I never showed up, what could´ve been There goes the loudest woman this town has ever seen I had a marvelous time ruining everything
I had a marvelous time ruining everything A marvelous time ruining everything A marvelous time I had a marvelous time
Traduction
Rebekah est montée dans le train de l´après-midi, il faisait beau Son pavillon sur la côte lui a fait oublier Saint Louis Bill était l´héritier de la Standard Oil (1) et de l´argent
Et la ville a dit : "Comment une divorcée de la classe moyenne a-t-elle réussi ?" Le mariage était charmant, bien qu´un peu maladroit Il y a une limite aux nouveaux fonds Ils ont choisi une maison qu´ils ont appelée "La résidence de vacances" Leurs fêtes étaient de bon goût, quoiqu´un peu bruyantes Le médecin avait dit à Monsieur de se calmer Ça a dû être la faute de Madame si son cœur a lâché Et ils ont dit
Ainsi s´en va le dernière grand destin américain Qui sait, si elle n´était jamais apparue, ce qui aurait pu être
Ainsi s´en va la femme la plus folle que cette ville ait jamais connue Elle se délectait à tout détruire
Rebeah a renoncé pour toujours à sa demeure de Rhode Island Elle est arrivée en avion chez ses amies - le clan des vilaines filles de la ville Elle a rempli la piscine de champagne et a nagé avec les grands noms Elle a dépensé tout l´argent en s´offrant garçons et ballets Et en perdant des paris sur des parties de cartes avec Dalí Et ils ont dit
Ainsi s´en va le dernière grand destin américain
Qui sait, si elle n´était jamais apparue, ce qui aurait pu être Ainsi s´en va la femme la plus décomplexée que cette ville ait jamais connue Elle se délectait à tout détruire
Ils disent qu´on la voyait à l´occasion Marcher sur les rochers, contempler la mer à minuit Se quereller avec son voisin Elle lui a volé son chien qu´elle a teint en vert limette Cinquante en arrière, ça fait belle lurette La résidence de vacances, était là, silencieuse, sur cette plage Sans femmes folles, leurs maris et leurs mauvaises habitudes Et puis, c´est moi qui l´ai achetée
Qui sait, si je n´étais jamais apparue, ce qui aurait pu être Voilà venir la femme la plus bruyante que cette ville ait jamais connue Je me suis délectée à tout détruire
Je me suis délectée à tout détruire Me suis délectée à tout détruire Me suis délectée Je me suis délectée
(1) Taylor Swift consacre ce titre à Rebekah West Harkness, la veuve sulfureuse de William Hale Harkness, dont la famille avait fondé la Standard Oil Company.