C´est moi le boomerang qui revient après les premiers tu me manques
Combien d´appels manqués pour tomber facilement Une fois distante j´voulais rayer mon existence, tu m´as recontacté C´est nous les frisbees, on s´envoie en l´air moi et mon whisky, j´tourne en rond dans la rue ton image que j´esquive, c´est mon estime de moi que j´ai perdu dans l´vestige de nos dernières fois
J´ai ramassé une dernière fois ma tête, j´ai recollé le verre, j´ai recollé le verre Je me relève et je retombe encore
Comme les paroles en l´air que tu répètes encore, et on repart en guerre pour s´aimer à la mort Combien de dernières danses, s´éteindre à petit feu, l´illusion recommence et moi je ferme les yeux
Dans l´oeil de cyclone, j´repeins tout en noir comme un Rolling stone, dernière winston, j´attends le coup du Klaxon, qu´le téléphone sonne et que tu m´attendes en bas, alors qu´je sais très bien qu´il n´y aura personne C´est moi le marteau, le front sur l´béton armé, qui fait couler la peinture sur les murs en biais J´veux simplement que tu sortes de là, simplement que tu sortes de là
J´ai ramassé une dernière fois ma tête, j´ai recollé le verre, j´ai recollé le verre Je me relève et je retombe encore
Comme les paroles en l´air que tu répètes encore, et on repart en guerre pour s´aimer à la mort Combien de dernières danses, s´éteindre à petit feu, l´illusion recommence et moi je ferme les yeux
Comme un avion en papier, que l´on envoie face au vent, que l´on n´ramasse plus Si mon coeur est en acier, c´est qu´on a shooté dedans
Comme les paroles en l´air que tu répètes encore, et on repart en guerre pour s´aimer à la mort Combien de dernières danses, s´éteindre à petit feu, l´illusion recommence et moi je ferme les yeux