If you´re leaving please still say goodbye And if you are leaving can you leave me my silver jubilee mug My old flag My dark woods
My sunrise
If you’re leaving can you please say goodbye And if you are leaving can you leave your number I´ll pack my case And get in a cab And wave you goodbye
I drive in the early hours down to the sea I stand on the beach where the storms amplify All the voices that I care for And the ghosts I hold sacred
In this alignment that lasts for a day There´s nothing that I can do anyway, anyway What am I doing here? Waiting for you?
Hey
So rebuild the railways Firm up all the roads No one is leaving Now this is your home The horses, the foxes, the sheep, and the cows Bow down on their knees To the fanfare of progress, it’s always the same We cheer on the clowns as they roll into town But their faces look tired and sad to me And carry the terrible things they´ve seen
All lost in a painting of a sky coloured oil In this Merrie Land
You are my crows, my window rattlers
Perfumed valley criers Oh the dark ponds of Merrie England The deep space echoes Get on your mo..... What did you say? Mobility (You can fly) Get on your mobilised hooters... (to the moon) Hooters... Haha Mobilised Hooters... Haha (one day) Get hold of those mobilised hooters They are half price
This is not rhetoric It comes from my heart I love this country Daneland, I am your kin You were the ones who work together Put the money in the pockets
Of the few and their fortunes Who crowd the school benches And jeer at us all because they don´t care about us They are graceless and you shouldn´t be with them Because they are all disconnected and raised up in mansions And two hundred plastic bags in a whale´s stomach So you turn to the trident Are we green are we pleasant? We are not either of those Father We are a shaking wreck where nothing grows Lost in the sky coloured oils of Merrie Land
You can fly to the moon One day
Traduction
Si tu pars, s´il te plaît, dis-moi encore au revoir Et si tu pars, peux-tu me laisser ma tasse jubilé en argent Mon vieux drapeau
Mes bois sombres Mon lever de soleil ?
Si tu pars, peux-tu s´il te plaît me dire au revoir ? Et si tu pars, peux-tu me laisser ton numéro ? Je ferai mes valises Je monterai dans un taxi Et te ferai un signe d´adieu de la main
Au petit matin, je roule jusqu´à la mer Je me tiens sur la plage où les orages s´intensifient Toutes les voix qui me sont chères Et ces fantômes que je considère sacrés
Dans cet alignement qui ne dure qu´une journée Il n´y a rien que je puisse faire de toute manière, de toute manière
Que fais-je ici À t´attendre ?
Hé
Alors, reconstruisez les voies ferrées Consolidez toutes les routes Personne ne part Maintenant, c´est ici ta maison Chevaux, renards, vaches et moutons Se mettent à genoux Devant la fanfare de l´évolution On acclame les clowns qui entrent dans la ville Mais leurs visages me paraissent tristes et fatigués Ils transportent les choses terribles auxquelles ils ont assisté
Ils sont tous perdus dans une peinture à l´huile de la couleur du ciel De ce joyeux pays
Vous êtes mes corbeaux, mes serpents qui sifflent à mes fenêtres Mes crieurs parfumés des vallées Oh, les sombres étangs de la joyeuse Angleterre Les échos des espaces profonds Ton modus operandi Qu´as-tu dit ? La mobilité (Tu peux t´envoler) Monter sur tes chouettes et hiboux mobilisés (et aller vers la lune) Chouettes et hiboux.. ah ah (un jour) Empare-toi de leurs ailes mobilisées Elles sont à moitié prix
Ce n´est pas de la rhétorique Ça vient du cœur J´aime ce pays Terre des Danois, je suis de votre famille Vous étiez ceux qui travailliez ensemble Mettant l´argent dans les poches De quelques-uns avec leur fortune Qui envahissent les bancs des écoles Ils nous narguent tous parce qu´ils n´en ont rien à faire de nous Ils sont dépourvus d´élégance et vous ne devriez pas être avec eux Parce qu´ils sont tous déconnectés et ont été élevés dans des châteaux Et deux cents sac plastique dans le ventre d´une baleine Alors, vous vous tournez vers le trident Sommes-nous écolos ? Sommes-nous plaisants ?
Nous ne sommes même pas issus de ce Père Nous sommes des loques branlantes sur lesquelles pousse le néant Perdus dans ces peintures à l´huile de la couleur du ciel de ce joyeux de pays