Oh ! quand la Mort, que rien ne saurait apaiser, Nous prendra tous les deux dans un dernier baiser Et jettera sur nous le manteau de ses ailes, Puissions-nous reposer sous deux pierres jumelles !
Puissent les fleurs de rose aux parfums embaumés Sortir de nos deux corps qui se sont tant aimés, Et nos âmes fleurir ensemble, et sur nos tombes Se becqueter longtemps d´amoureuses colombes !