đŸ’ƒđŸŽ€ Paroles de chanson Française et Internationnales đŸŽ€đŸ’ƒ

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Artiste : Tim Dup
Titre : Montecalvario
Au soleil une sieste, sous le plomb des quinze heures
Le bouquet enflammé que distille le parfum des fleurs
C’est là, sur les hauteurs d’un quartier de Napoli

Qu’elles s’étaient rencontrĂ©es, elles s’étaient souri

Reflets beryls sur le saphir, les Madonetta de calcaire
Au loin les voiliers filent vers les Ăźles du bord de mer
Les barges frĂȘles des pĂȘcheurs longeant la cĂŽte amalfitaine
Avec au fond du cƓur les chansons d’étĂ© italiennes

Je l’ai cherchĂ©e Via Toledo et puis sur le ferry
PassĂ© le Cap Posillipo en direction de Capri Et j’ai couru dans les rues pour faire comme au cinĂ©ma
Mais tout ça n’arrive plus dans la vraie vie des gens d’en bas

Elles se sont imaginées se retrouvant sur une place
L’une rĂȘvassait, et l’autre Ă©tait en terrasse
Du haut des falaises d’ocre elles plongeaient à la verticale
Au fond du lapis-lazuli, les corps brûlants panés de sable

Je suis allée au belvédÚre de Montecalvario
Avant que l’étoile solaire ne se lune pianissimo
Pour espérer deviner, dans le soir, son ombre passante
Un indicible pochoir contre le crépis jaune hélianthe

L’une s’en voudra toujours de n’avoir su faire attention
D’avoir Ă©garĂ© la seule chose qui puisse les emmĂȘler
Elle a perdu le papier sur lequel étaient couchés
D’un trait fin Ă  l’encre bleu, son adresse et son prĂ©nom
Au soleil une sieste, sous le plomb des quinze heures
Le bouquet enflammé que distille le parfum des fleurs
C’est là, sur les hauteurs d’un quartier de Napoli
Qu’elles s’étaient rencontrĂ©es, elles s’étaient souri

Reflets beryls sur le saphir, les Madonetta de calcaire

Au loin les voiliers filent vers les Ăźles du bord de mer
Les barges frĂȘles des pĂȘcheurs longeant la cĂŽte amalfitaine
Avec au fond du cƓur les chansons d’étĂ© italiennes

Je l’ai cherchĂ©e Via Toledo et puis sur le ferry
PassĂ© le Cap Posillipo en direction de Capri Et j’ai couru dans les rues pour faire comme au cinĂ©ma
Mais tout ça n’arrive plus dans la vraie vie des gens d’en bas

Elles se sont imaginées se retrouvant sur une place
L’une rĂȘvassait, et l’autre Ă©tait en terrasse

Du haut des falaises d’ocre elles plongeaient à la verticale
Au fond du lapis-lazuli, les corps brûlants panés de sable

Je suis allée au belvédÚre de Montecalvario
Avant que l’étoile solaire ne se lune pianissimo
Pour espérer deviner, dans le soir, son ombre passante
Un indicible pochoir contre le crépis jaune hélianthe

L’une s’en voudra toujours de n’avoir su faire attention
D’avoir Ă©garĂ© la seule chose qui puisse les emmĂȘler
Elle a perdu le papier sur lequel étaient couchés

D’un trait fin Ă  l’encre bleu, son adresse et son prĂ©nom