LĂ , j´baraude dans la ville, y a les porcs en joute Les ients-cli, tu l´sens pas,â leâ mal ça parleâ en stop Y a des reufs auâ placard, c´est vrai qu´y en a qui souffrent
Et les ients-cli aussi, quand y a plus d´dix en stock J´m´enfume sous la capuche, j´ai le cerveau capoute Dans l´auto´, quatre crapules, appuie l´bouton "capote" Rah, c´est moi qui gère, tu sais qu´les autres, ils imitent J´rallume le teh et j´prÊpare une frappe imminente
Heureusement qu´la nuit tombe progressivement, vous trouvez pas ? Vous vous rendez compte si tout s´Êteignait tout d´un coup comme une bougie, quoi. T´es là , t´avances tranquillement, tu vois tout, tu reconnais tout l´monde et boum ! Sans prÊvenir, tout d´un coup, tu vois plus rien
LovĂŠs, lovĂŠs, on a charbonnĂŠ tout la journĂŠe LovĂŠs, lovĂŠs, on va en chercher mĂŞme la noche Et ça dâvient banal, banal, banal Et ça dâvient banal, banal, banal
Jâarrive plus Ă ingurgiter autant d´[whisky ?] qu´dans lâtemps. Ma vieille panse arrive plus Ă encaisser ; jâai la chiasse Ă chaque fois que jâbois tu târends compte ?
Et viens nous voir, comme dâhab´, on est tous die, die, die, die Y a les civils en descente, ça stop les bails, bails, bails, bails Cavaler, on a du faire comme Sonic Et dans lâquartier ça parle rebeu comme soninkĂŠ
LovĂŠs, lovĂŠs, on a charbonnĂŠ tout la journĂŠe LovĂŠs, lovĂŠs, on va en chercher mĂŞme la noche Et ça dâvient banal, banal, banal Et ça dâvient banal, banal, banal