1. N´entends-tu pas, cara mia, Ce bruit qu´apporte la brise ? Il vient de Santa Maria, Notre chère et vieille Êglise.
Son gai carillon, chaque jour, Berce nos rendez-vous d´amour : Ăcoute âŚ
R. Huit heures sonn´nt au campanile Din´, ding, din´, ding, din´, ding, dong, C´est l´heure oÚ tu reviens vers moi : Tout s´illumine sur la ville Din´, ding, din´, ding, din´, ding, dong, Et les cloches sonnent pour toi Mes yeux t´attendent pour t´admirer : Mes bras se tendent pour te serrer. Huit heures sonn´nt au campanile Din´, ding, din´, ding, din´, ding, dong, Et les cloches sonnent pour toi Din´, ding, din´, ding, din´, ding, dong.
2. Toutes les nuits, cara mia, Après des baisers sans nombre, Quand, loin de moi tu t´en vas, Me laissant dans la nuit sombre. Tu crois me quitter ⌠quelle erreur ! Toujours ⌠tu es lĂ dans mon cĹur ⌠Ăcoute âŚ
R. Huit heures sonn´nt au campanile Din´, ding, din´, ding, din´, ding, dong, C´est l´heure oÚ tu reviens vers moi : Tout s´illumine sur la ville Din´, ding, din´, ding, din´, ding, dong,
Et les cloches sonnent pour toi Mes yeux t´attendent pour t´admirer : Mes bras se tendent pour te serrer. Huit heures sonn´nt au campanile Din´, ding, din´, ding, din´, ding, dong, Et les cloches sonnent pour toi Din´, ding, din´, ding, din´, ding, dong.