Quand Nous jouions à la marelle Cerisier rose et pommier blanc J´ai cru mourir d´amour pour elle En l´embrassant Avec ses airs de demoiselle,
Cerisier rose et pommier blanc Elle avait attiré vers elle Mon coeur d´enfant La branche d´un cerisier De son jardin caressait La branche d´un vieux pommier Qui dans le mien fleurissait De voir leurs fleurs enlacées Comme un bouquet de printemps Nous vint alors la pensée D´en faire autant. Et c´est ainsi qu´aux fleurs nouvelles Cerisier rose et pommier blanc Ont fait un soir la courte échelle A nos quinze ans
Non, non, ne dites pas qu´à son âge Vous n´étiez pas si volage
Non, non, quand deux lèvres vous attirent J´en sais peu qui peuvent dire non.
Quand nous jouions à la marelle Cerisier rose et pommier blanc J´ai cru mourir d´amour pour elle En l´embrassant Mais un beau jour les demoiselles, Frimousse rose et voile blanc, Se font conduire à la chapelle Par leur galant. Ah quel bonheur pour chacun ! Le cerisier tout fleuri Et le pommier n´en font qu´un Nous sommes femme et mari. De voir les fruits de l´été Naître des fleurs du printemps L´amour nous a chuchoté
D´en faire autant. Si cette histoire est éternelle Pour en savoir le dénouement Apprenez-en la ritournelle Tout simplement Et dans deux ans deux bébés roses Faisant la ronde gentiment Vous chanteront cerisier rose Et pommier blanc.
Cette chanson est une reprise. Sa version originale a été créée par André Claveau