Bravant la vie et son fardeau Sans lui courber le dos Sous le vent froid, sous le vent chaud Qui glace et cuit ma peau oh, oh, oh Je poursuis l´éternelle ronde
Des Gitans qui parcourent le monde oh, oh, oh oh, oh, oh
Sur la route qui va, qui va, qui va, Et qui ne finit pas Dans un bruit de chevaux Un frisson d´oripeaux Je suis celle qui passe Tant pis si mon cœur bat Tout bas, tout bas Au rythme de mes pas Mon désir vagabond Fuyant vers l´horizon Ne s´emprisonne pas
J´ai connu de beaux jours Sans lendemains J´ai laissé mon amour sur le chemin
Je suis ma route et chante, chante, Chante au vent du destin.
Après la route et ses cahots C´est la hâte à nouveau oh ! oh ! oh ! Mais on repart toujours trop tôt Et ce n´est pas mollo ! oh! oh! oh ! Dans la vie où rien ne s´achève Les maisons sont des prisons sans rêves oh ! oh ! oh ! oh ! oh ! oh !
Sur la route qui va, qui va, qui va, Et qui ne finit pas Dans un bruit de chevaux Un frisson d´oripeaux Je suis celle qui passe Tant pis si mon cœur bat Tout bas, tout bas
Au rythme de mes pas Mon désir vagabond Fuyant vers l´horizon Ne s´emprisonne pas
J´ai connu de beaux jours Sans lendemains J´ai laissé mon amour sur le chemin Je suis ma route et chante, chante, Chante au vent du destin
Et sur mes pas j’entends l´écho Des rires des sanglots oh, oh, oh Je traîne au loin comme un troupeau Mes jours sombres et beaux oh, oh, oh Je mourais le vent pour escorte D´un bonheur trop lourd pour qu´on l´emporte oh, oh, oh, oh, oh, oh
Sur la route qui va, qui va, qui va, Et qui ne finit pas Dans un bruit de chevaux Un frisson d´oripeaux Je suis celle qui passe Tant pis si mon cœur bat Tout bas, tout bas Au rythme de mes pas Mon désir vagabond Fuyant vers l´horizon Ne s´emprisonne pas
J´ai connu de beaux jours Sans lendemains J´ai laissé mon amour sur le chemin Je suis ma route et chante, chante, Chante au vent du destin