Comme aux beaux jours de nos vingt ans, (En souvenir de nos vingt ans) Par ce clair matin de printemps, (Par ce beau matin de ..) J´ai voulu revoir tout là-bas,
L´auberge au milieu des lilas. On entendait sous les branches, (On entendait dans ..) Les oiseaux chanter dimanche Et ta chaste robe blanche, Paraissait guider mes pas.
Tout avait l´air à sa place, Même ton nom dans la glace, Juste à la place où s´efface, Quoi qu´on fasse, Toute trace.. Et je croyais presqu´entendre Ta voix tendre murmurer "Viens plus près"
J´étais ému comme autrefois Dans cette auberge au fond des bois,
J´avais des larmes dans les yeux (J´avais des larmes pleins ..) Et je trouvais ça merveilleux. Durant toute la journée, Après tant et tant d´années, (Dans la chambre abandonnée) Dans ta chambre abandonnée, (Depuis tant et tant d´années) Je nous suis revus tous deux.
Mais rien n´était à sa place; Je suis resté, tête basse, À me faire dans la glace Face à face La grimace... Enfin j´ai poussé la porte, Que m´importe N. I. NI
C´est fini
Pourtant quand descendit le soir Je suis allé tout seul m´asseoir (Je suis venu tout seul m´asseoir) Sur le banc de bois vermoulu Où tu ne revins jamais plus. Tu me paraissais plus belle, Plus charmante, plus cruelle Qu´aucune de toutes celles Pour qui mon cœur a battu.
Et je rentrai, l´âme lasse, Chercher ton nom dans la glace (Tout avait l´air à sa place) Juste à la place où s´efface (Même ton nom sur la glace) Quoi qu´on fasse
Toute trace.. Mais avec un pauvre rire (Puis avec un pauvre rire) J´ai cru lire: "Après tout, On´ s´en fout."
Cette chanson est une reprise. Sa version originale a été créée par Fréhel