Sais-tu, toi que j´aime tant, sais-tu Que nul espoir ne remplace Le bel instant perdu ?
Déjà, je vois dans tes yeux, déjà
Le doux aveu qui s´efface Dans un reflet qui tremble et qui s´en va Et j´ai peur de cette ombre où s´éteint La flamme du destin D´un bonheur qui ne grave en nos cœurs Désormais que son mirage
Mais rien ne peut briser, sais-tu D´un grand amour qu´on partage La tendre image, sais-tu ?
Et j´ai peur de cette ombre où s´éteint La flamme du destin D´un bonheur qui ne grave en nos cœurs Désormais que son mirage
Viens, le plus grand bonheur, sais-tu C´est de goûter, douce et lente