Les rails qui défilent ont usés mes yeux. J´habite nulle part , et c´est peu être mieux. Le train qui m´emmène,
ne s´arrêtera plus , je lui est parié ma vie , oh et j´ai perdu. Le train roule, et t´emmène avec lui le vent qui siffle t´arracha la nuit. accroche toi petit la route est ta seule amie. j´ai traverser tant de villes dans le brouillard il ne me reste rien autre que ma guitare une paire de bottes usées et des lunettes noires, noires, noires, noires, noires