Embrasse moi dessus bord Viens mon ange, retracer le ciel J´irai crucifier ton corps, Pourrais-je depunaiser tes ailes ? Embrasser, te mordre en même temps
Enfoncer mes ongles dans ton dos brulant Te supplier de me revenir et tout faire ô tout pour te voir partir et viens!
Emmène moi là bas Donne moi la main Que je ne la prenne pas Écorche mes ailes Envole moi Et laisse toi tranquille a la fois Mille fois entrelaçons nous Et lassons nous même en dessous Serre moi encore serre moi Jusqu’à étouffer de toi
Il y a des salauds Qui pillent le coeur des femmes Et des femmes qui n´savent plus trop
D´où l´amour tire son charme Papillons de fleurs en fleurs D´amour en amour de coeur Ce qui n´ont qu´une étoile Ou ceux qui brulent leur voiles
J´aime tes larmes quand tu aime La sueur le sang, rendons nous amants Qui se passionne, qui se saigne J´aime quand mon écorché est vivant Je ne donne pas long feu A nos tragédies, à nos adieux Reviens moi, reviens moi Tu partiras mieux comme ça
A force de se tordre on en finirait par se mordre A quoi bon se reconstruire quand on est adepte du pire ?
Malgré nous, malgré nous à quoi bon se sentir plus grand que nous Deux grains de folie dans le vent, nos âmes brulantes, nos enfants
Il y a des salauds Qui pillent le coeur des femmes Et des femmes qui n´savent plus trop D´où l´amour tire son charme Papillons de fleurs en fleurs D´amour en amour de coeur Ce qui n´ont qu´une étoile Ou ceux qui brulent leurs voiles
Embrasse moi dessus bord Viens mon ange, retracer le ciel J´irai crucifier ton corps, Dépunaiser tes ailes ?
Embrasser, te mordre en même temps Enfoncer mes ongles dans ton dos brulant Te supplier de me revenir et tout faire Pour te voir partir et viens! Emmène moi là bas Donne moi la main Que je ne la prenne pas Écorche mes ailes Envole moi Et laisse toi tranquille à la fois Mille fois entrelaçons nous Enlaçons nous même en dessous
Serre moi encore serre moi Jusqu´à étouffer de toi Il y a des salauds Qui pillent le coeur des femmes Serre moi encore serre moi
Jusqu´à étouffer de toi
Serre moi encore serre moi Serre moi encore serre moi Serre moi encore serre moi