On était pote de lér-ga, pote de tèrtere Qu´on perd intimement bas de l´amitié de nos ren-pa On a traîné ensemble, on a traîné en bande Uni par cette zermi qui faisait que l´on se ressemble
En bas on était solide, solidaire, fou fière Tant de folie impolie et jamais solitaire A nos tendres années à nos premiers râteaux Dans la galère tous passager du même bateau On a partagé nos chagrins, partagé nos fous rires Partager nos bouts de pain se balancer plutôt mourir Oui on a peiné souri et saigné je t´ai toujours respecté Car tu étais mon aîné je t´ai donné ma confiance Même prêté de la maille tu m´as donné et fourré avec le smile Bon Maâliich, passons jm´en fiche t´façon Mais bon moi j´ai changé de fréquentation Toi t´as quitté la région de l´eau a coulé sous les ponts
J´en ai tourné la page notre amitié a pris le large et ma rage a pris de l´age en hommage a tes coups de couteaux ex-poto notre amitié n´se résume plus qu´a quelques photos.
(Refrain :) Marlich a ces erreurs que l´on commet A ces personnes auquel on tenait Ces choses que l´on promet mais qu´on ne fait pas Les maux de cœur je les connais mais ne t´en fais pas Je m´en fiche si tu m´a cartonné si tu m´as jarclé Sache que je t´ai pardonné fais en autant pour ma part Si j´ai merdé car le temps répare mais le temps sépare
Oui je l´avoue je t´ai kiffé, c´est dur mais on s´y fait Si j´avais su que ce mot la rimait avec « se faire gifler » Aucune hostilité à ton égard je nous revoie marcher avec un pas d´écart dans le tié-quar C´est vrai qu´on était gamin histoire de collégien je t´ai d´abord chopé la main puis j´ai chopé le béguin tu m´as donné ton amour donné ta confiance tu ne voulais rien en retour excepté ma présence mais moi j´étais méfiant parano à la fois dans le fond c´est que je n´avais pas confiance en moi les relations complexes car nos querelles nous terrassent pour vivre en harmonie je n´ai pas trouvé le mot de passe
Ah si j´avais cru en toi et moi car aujourd´hui je suis déçue je ne côtoie que des ... tu vois des meufs louches j´en connais un rayon celles qui n´ont pas une bouche mais un taille crayon mais bon j´ai pris peur quand tu m´as déclaré tes rêves moi je voulais croquer la vie toi tu voulais croquer mes lèvres tu m´as demandé mon avis je t´ai demandé une trêve tu n´avais pas l´air ravie mais mon cœur était en grève.
(Refrain)
Moi je ne pardonne rien les déceptions et les coups bas pas d´exception a ton égard Je dirais juste tu es coupable d´être parti sans rien dire pour résumer
c´est tellement plus facile de fuir que d´assumer hein oh papa non je ne connais pas ce mot je le dis parce qu´il le faut mais au fond il ne me parle pas qui es tu ? Un inconnu a mes yeux moi je t´en veux ce qui me tue c´est que tu ne nous calcules pas Je ne suis pas venue te dire de te racheter sache que je ne suis plus fâché mais j´applaudis ta lâcheté tu étais un peu fou souvent soul violent toi tu nous donnais des coups au lieu de nous donner du temps Y´a ceux qui chialent car leurs papas manquent d´autres chialent dès qu´ils rentrent D´autres chialent et se planquent dès qu´ils rentrent Oui tu es parti en vrille ça ne sera jamais plus pareil car tu as laissé
ta famille et enlacé ta bouteille. Elle tu l´as laissé là les gosses sur les bras et tu es parti sans même que l´on ne puisse te dire besalema Blessé mais j´ai effacé ma colère d´un gosse délaissé et laissé sans repère.