Glorifie pas la rue, ça pue sa mère Je les vois comme grosse timp´ dans rue d´Anvers La vie m´a laissé un goût amer Si je pillave trop pour finir centenaire Mon paradis a un goût d´enfer
J´ai le cœur trop près des poches et des flammes dans l´iris Poto je mens jamais dans les lyrics En promenade ça ramasse des mégots D´autres se font ramasser par les Urus Rajoute un peu de couleur dans nos putain de vies grises Passe un grand salam à l´OCTRIS En haut de la pyramide comme si j´étais Osiris Toujours sous potion comme Astérix
La nuit je fume le Sokha, la californienne Je suis perdu quelque part dans cette dounia Peut-être que je vais y rester comme Zyed et Bouna Rêve en silence, il n´y a que des louja La prison me pend au nez comme une hnouna Sans repères tu sais, j´ai grandi sans père
Il y a quoi sur l´autre rivage, des rivières de diamant Des silhouettes sans visages, des me-ar des balcans Il y a quoi sur l´autre rivage, des rivières de diamant Des silhouettes sans visages, des me-ar des balcans Il y a quoi sur l´autre rivage À part mauvais présage Des barreaux, des grillages Mon ciel, il est nuageux
Murs ont des oreilles, c´est des collabos Peut-être qu´un jour il paiera mon argot Elle veut que je la ramène à Monaco (Elle veut que je la ramène)
Un côté mafieux comme Riina Toto Doigt tatoué sur crosse du semi-auto Casquette baissée quand je conduis l´auto Un sombre vécu Mais la poisse, on me dirait qu´elle me tourne autour Sèchera pas mes larmes, la chaleur du four J´ai le bras trop long pour attendre mon tour Du seum dans la poudre à canon Qu´elle ne tombe pas du ciel mais du camion
La nuit je fume le Sokha, la californienne Je suis perdu quelque part dans cette dounia Peut-être que je vais y rester comme Zyed et Bouna Rêve en silence, il n´y a que des louja La prison me pend au nez comme une hnouna Sans repère tu sais, j´ai grandi sans père
Il y a quoi sur l´autre rivage, des rivières de diamant Des silhouettes sans visages, des me-ar des balcans Il y a quoi sur l´autre rivage, des rivières de diamant Des silhouettes sans visages, des me-ar des balcans Il y a quoi sur l´autre rivage À part mauvais présage Des barreaux, des grillages Mon ciel, il est nuageux