Dans l´indifférence, le mépris, nos adolescences m´ont appris Qu´il n´y a qu´à la fin qu´on sait qui brillera Armé de patience, de folie
Je sais l´insolence de la vie qui fait qu´à la fin, le vrai l´emportera Jeune, j´ai dû me bagarrer tout seul, j´ai su n´écouter que mes pas J´ai vu changer les gens, changer les vents, changer ma voix
On est vite incompris, du mal à vivre, alors on vise le firmament Vite, on oublie, on se délivre pour ne plus vivre qu´au présent
Ouh, ouh, ouh, ouh Pour ne plus vivre qu´au présent
Rien ne se casse ni se brise comme un cœur J´ai très vite compris qu´y avait pas d´sauveur Puis la douleur, ça ne dure qu´un temps J´ai fait des erreurs et j´en sors plus grand
Jeune, j´ai dû me bagarrer tout seul, j´ai su n´écouter que mes pas J´ai vu changer les gens, changer les vents, changer ma voix On est vite incompris, du mal à vivre alors, on vise le firmament Vite, on oublie, on se délivre pour ne plus vivre qu´au présent
On s´accomplit, on se révèle, mais ça n´se fait pas si facilement Vous les incompris, pour eux, c´est les mêmes
Ouh, ouh, ouh, ouh Ouh, ouh, ouh, ouh Pour ne plus vivre qu´au présent Ouh, ouh, ouh, ouh Ouh, ouh, ouh, ouh Pour ne plus vivre qu´au présent Ouh, ouh, ouh, ouh (Oh, oh) Ouh, ouh, ouh, ouh (Oh, oh) Pour ne plus vivre qu´au présent Ouh, ouh, ouh, ouh (Oh, oh) Ouh, ouh, ouh, ouh (Oh, oh, oh) Pour ne plus vivre qu´au présent Ouh, ouh, ouh, ouh, ouh (Yeah, yeah)
Ouh, ouh, ouh, ouh, ouh (Oh, oh) Ouh, ouh, ouh, ouh, ouh (Eh, oh, oh) Pour ne plus vivre qu´au présent