On dit toujours qu´c´était plus facile à faire avant
La route est moins longue quand t´es dans un bon fer allemand J´ai l´W en monogramme (double), la course elle m´fait trop mal au crâne L´genre de mal qui passe pas avec l´Efferalgan ??? est très précieux, c´est au RDC les cieux À quoi sert d´baisser les yeux ? P´t-être j´suis d´la DGSE J´ferai plus d´interviews (jamais), bah nan, j´dis tout dans les sons qu´je peins J´respire, j´vois l´ouragan, l´air de rien C´est pour mes amours morts, mes galères, j´suis triste, j´en ai pas l´air Tout c´que j´ai perdu, j´le retrouverai où ? P´t-être sous la poussière de l´étagère Oublier ou prier, j´sais plus procéder, fusil est goupillé, j´suis possédé Ils ont cru m´tuer mais j´peux ressusciter
Dans l´cœur j´ai un film qu´il faudrait sous-titrer J´ai des doutes en pagaille, des souvenirs en cavale J´connais pas la fin mais j´connais bien la bataille Y a un mort dans l´centre, y a un mort sur l´canal Des coups d´poing, des rafales, des victimes du travail Ah là là là, je respire, ah bah voilà l´hiver (voilà la liberté) Ah là là là, faut qu´j´me tire, jusqu´où va l´univers ? (tou-tou-tou) Ah là là là, l´ciel est rouge, il ressemble à la misère Ah bah voilà l´hiver, ah bah voilà l´hiver
Pardonnez, j´ai pas l´temps Le ciel est mieux près d´toi La monnaie, je l´attends, la monnaie, je l´attends Le teh c´est pas très bien, j´fais qu´écrire des testaments La monnaie, je l´attends, la monnaie, je l´attends Qu´est-ce qu´on attend à pleurer ? Flaque de sang sur l´plancher d´un palais y´a personne qui dansait Les sièges ils sont plus rouges que l´rouge qu´a coulé d´ta pussy À pleurer, flaque de sang sur l´plancher d´un palais, y´a personne à pleurer, à pleurer
Y a des trous dans mes souvenirs, ses yeux, ses yeux tirent
J´suis dans l´théâtre de ma vie, tout l´monde se tait, j´attend l´bruit d´la fin, l´dernier tir Y a des chants, des gens, du sang, des larmes qui crient Y a l´présent des chants du vent des dames qui prient Y a 300 personnes dans un abri vide Y a des vivants trop morts pour partir vivre J´me bats contre l´invisible à l´œil nu J´ai lu dans leurs yeux c´que j´ai jamais r´lu J´aimais des gens qu´j´ai jamais r´vu Et j´crois au passé, il est jamais r´v´nu J´roule un J, mon grand-père il roule les "R" puis j´vois l´amour, j´vais chercher des mystères Les cris des vautours remplacent celui des enfants, qu´est-c´qu´on leur donnera ? J´peux pas leur laisser d´l´air Et j´ai mal aux nerfs et j´crois qu´on s´perd
P´t-être j´suis né depuis des millénaires J´y crois cinquante fois plus que j´l´espère Cherche le GPS avant l´itinéraire Et l´problème dans tout ça ? C´est qu´je sais même pas quand j´vais vivre La mort est invisible, je sais même pas quand j´l´évite Elle a laissé des maux bien tracés dans les vitres Les épaules dures, j´pourrais porter l´ciel J´pars d´en bas, j´fais que forger l´sceptre J´casse la vitre, flemme de crocheter une porte On a fait plus de route qu´un scoot, qu´une goutte, qu´une Ford Escape
J´ai vu des gens sourire devant des problèmes trop lourds, impossibles à régler-ler-ler-ler Il neigeait-lé-lé-lé, comment retrouver les clés-lés-lés-lés
J´ai qu´une seule armoire, ??? J´repartirai comme j´suis venu, j´crois qu´j´suis qu´une intempérie
J´me rend compte que j´connaitrai jamais ma nana C´est plus du football, nan, c´est juste un carnaval L´Alpraz´, du rhum, de la beuh, du Canada J´arrive, j´fous un froid, donc faut mettre la Canada Si, si tu deviens fou, cherche pas loin, c´est la ZaZa J´suis sur une autre planète, j´parle pas avec la Nasa À toute heure l´ciel dit la direction du ´seille, à quel point qu´je sais même plus retrouver la casa
Pardonnez, j´ai pas l´temps Le ciel est mieux près d´toi La monnaie, je l´attends, la monnaie, je l´attends Le teh c´est pas très bien, j´fais qu´écrire des testaments La monnaie, je l´attends, la monnaie, je l´attends Qu´est-ce qu´on attend à pleurer ? Flaque de sang sur l´plancher d´un palais y´a personne qui dansait Les sièges ils sont plus rouges que l´rouge qu´a coulé d´ta pussy À pleurer, flaque de sang sur l´plancher d´un palais, y´a personne à pleurer, à pleurer