Au loin des hommes se baignent leur peau brûle comme des châtaignes Au loin les hommes se brossent de tout dans leurs beaux carrosses
Mmmmmh Mmmmmh
Au loin on reste dans son faste, on s´occupe de sa race, on effleure la surface Au loin les récipients sont pleins, on connaît le refrain, jamais on ne se plaint
Et ici on pleure à Ferguson Mmmmmh
Au loin se diffusent les rictus diffus et bien feints, on accuse les voisins Au loin jaillissent les jarres, des flots remplis d´or noir frémissants de dollars
Mmmmmh
Et ici on pleure à Ferguson
Au loin que ne hurlent les chiens quand la caravane passe proférant des menaces Allez ! Allez ! Tous les parfums de roses, les refrains de peu de choses